L’opposition totale du mouvement antimondialiste et anti-tyrannique, contre le néo-gnosticisme païen, rationaliste (non rationnel !) devenu “pensée unique” : la civilisation en a été impliquée jusqu’à séparer toujours plus les populations vers l’antagonisme actuel sans médiation !
Avec les dernières arrestations des fraudeurs américains aux élections, les responsabilités ne sont pas encore établies juridiquement, mais d’un point de vue politique et, surtout, eschatologique – si encore était nécessaire ! – sont toutes fixés. Ceci dans la plus grande démocratie au monde mais également, par exemple, en France et en Italie où les gouvernements ont été fixés par une moindre minorité (en France) ou même sans aucune élection politique (en Italie). La lutte pour le pouvoir a été toujours terrible mais, actuellement, elle est devenue même illégale et contre habituellement l’inviolable “sécurité de l’État”. Pourquoi ? La radicalité frauduleuse des oppositions ne peut être expliquée uniquement par les paradigmes typiquement et traditionnellement des partis. Les justifications sont surtout sur le plan gnostique et globalement religieux, naturellement. Il s’agit, en effet, de l’intolérance au plus haut degré : à l’enseigne d’une vision créaturelle (impliquant le Créateur) et étatiste bien sûr de la politique, mais également de ses manifestations vitales et existentielles. Et tout naturellement, des phénoménologies de l’existence antagoniste qui sont sous-jacentes. Elles se sont écartées aux extrêmes du possible à l’enseigne des deux civilisations courantes qui se sont construites philosophiquement : le l libéralisme et le socialisme. Et affirmés progressivement dans le dernier demi millénaire. La conception religieuse, avec le Catholicisme comme expression la plus globale, véritable et unique, est celle en l’occurrence de la néo-gnose, avec un retour à l’anthropocentrisme païen préchrétien. Toute la conception irréligieuse et superficielle, donc violente, apparemment “fondée” sur le relativisme obligé et hypostatisé de la pensée exclusivement humaine (naturellement subjectiviste et immorale) a produit une civilisation massifiée sur la “pensée unique et liquide”.
La bipolarité idéologique et majoritaire de la gnose néo-moderniste.
En devenant apparemment majoritaire par définition, cette conception a induit aussi un contre-mouvement surtout dans le Catholicisme rigoureusement christocentrique devenu minoritaire mais au moins fondé sur sa traditionnelle Liberté éternelle ! On pourrait dire, donc, que la bipolarité constituant le champ ontologique de référence de ce double idéologisme idolâtre et totalement opposé, est donné par la polarisation de ces deux visions du monde. Et de la vie, lesquelles ont toujours existés dans leur gravité, si bien en ton mineur : le mal et le bien. Entre ces deux polarités se situent toutes les positions intermédiaires, même politiques, de celles démocratiques et celles carrément antidémocratiques et dictatoriales. Celles-ci concernent la conception du travail, du divertissement, de l’image sociale personnelle, de la sexualité, de la cosmologie dite écologiste jusqu’aux dernières folies démentielles sur le “gender“… Toute l’existence en est donc actuellement concernée !
Les “déms” américains, obnubilés par leur idéologie collectiviste et néo-gnostique, n’hésitent pas à glisser et tomber dans la négation traitresse de la même démocratie : aussi à l’étranger !
Parmi les dernières conséquences de cette grandiose et diabolique escroquerie on ne peut plus impopulaires, on trouve déjà les premières arrestations de véritables falsificateurs de la vie publique dont on a déjà ramassé d’innombrables et décisives preuves ! Comme la démocratie est le système politico-social défini aussi pas Churchill en tant que meilleur jamais trouvé et prouvé, les auteurs de ces fraudes gigantesques sont considérés comme des véritables terroristes traitres de la politique moderne elle-même… Très grave ! S’il faut poser des critiques à la démocratie (chose possible à son systèmes de décision politique), il faut utiliser les méthodes aussi… démocratiques et non – naturellement – celles illégales et illégitimes de la grande falsification publique ! C’est également la raison pour laquelle les catholiques résiduels, tout en étant conscients de disposer de la solution pouvant résoudre le problème central de la Liberté dans l’exercice de la Justice sociale, se soumettent à la règle civile et démocratique de rester correctement en minorité. En attendant que cette solution salvifique, ledit Distributisme de la propriété d’entreprise, d’origine anglaise (non seulement de Chesterton…), puisse devenir au moins d’actualité. L’alternative est celle de permettre l’affirmation d’un autre système politique différent par rapport à la démocratie : système que l’on n’a même pas imaginé. Le traitement de ce thème je l’introduirai particulièrement dans les prochains derniers petits chapitres, notamment sur l'”Église catholique”.
Le monde entier est face à une historique alternative au-delà du politicisme politicien que presque la grande majorité de la culture mondialiste “impose” en exclusivité : entre la vision religieuse et le gnosticisme totalitaire (jusqu’à frauder aux élections démocratiques) selon les principes du NOM.
Tout le processus anthropocentrique de rébellion au christocentrisme à fondement de la civilisation occidentale (c’est-à-dire universelle, à model confirmé aussi pour toutes les autres cultures !) a désormais atteint son dernier stade où on décide mondialement la prévalence, même totalitaire, de la néo-gnose. Sur toute autre idéologie ou jugée prétendue dans la vérité présente dans l’histoire et, désormais dans le monde entier. Le choc entre les deux grandes idéologies polarisées est très violent. Aussi bien pour la prise du pouvoir que pour l’inconciliable stratégie de leurs contenus politiques. Tandis que les républicains ont gardé, tout de même, des solide attaches à la rationalité et à la religiosité intrinsèque à l’authenticité de la vie (donc à la moralité), les soi-disant démocrates américains (à l’enseigne de tous les autres socio-matérialistes internationaux d’origine marxienne) ont cultivé, dans le laps de temps de la dernière génération (depuis 1989) une recherche beaucoup plus idéologique. Celle qui les a amenés à un fanatisme rationaliste de palingénésie de leur idolâtrie dite progressiste. Toute autre option politique, dans leur délire politicien de totalisation, devient pour eux la marque d’une dévastation qui les conduit immédiatement à l’anathème automatique à l’encontre de toute opposition publique. Une sorte de condamnation aprioristique qui peut même justifier la pratique des pires délits politiques afin d’en écarter la victoire ! En se concevant indument l’élite “laïque” de l’intelligentsia mondiale, ils s’attribuent facilement la “mission” d’écarter du pouvoir les masses de populations en désaccord avec leurs solutions comptabilisées par eux-mêmes… Avec des méthodes qu’ils, en d’autres temps et circonstances auraient considérés sacrées et pratiquement inutilisables. Paradoxalement, il est évidentl’avoir abandonné l’obéissance naturelle et ontologique à Dieu, qui les a conduits à une nouvelle “religiosité” fondée sur un humanisme athéiste et gnostique néo-païen. Le programme qui résume cette paranoïa apparemment rationnelle mais réellement démentielle et angoisseusement réductive et tyrannique est le Nouveu Ordre Mondial. Pour sa réalisation, on devient même délinquants politiques, non seulement aux États-Unis !
À première vue, cet antagonisme irréductible semble se ramener, de nos jours, à une conception désidéologisée de la technocratie toujours dictatoriale du post-modernisme politique, qui serait “sans alternative” : mais les oppositions internationales se font innombrables et inflexibles…
La stratégie contre l’actuelle dévastation perçue sur le plan politique, économique et culturelle de l’humanité est en manque d’un background spirituel salvifique dont la nécessité a atteint déjà le point idéal de non-retour. Tous les acteurs politiques le reconnaissent, plus ou moins explicitement. C’est pour cette raison qu’une sa grande partie se consacre au débat politicien et même pseudo-culturel, pour essayer de faire prévaloir leurs propres idéologies gnostiques et fondamentalement, préchrétiennes. De quoi s’agit-il ? Deux sont restées les idéologies largement disponibles dans le monde auto-téléologiquement des marchés, comme si c’était une fatalité sans aucune alternative possible : le socialisme et le libéralisme, comme déjà dit, avec ses dérives et ses “mises à jours tranformistes” toujours bien nécessaires. Élevés abusivement et d’une façon incroyablement réductionniste au rang d’idéologies véritatives et globales, sans possibles visions antagonistes ou rivales, elles ont évolué tranquillement vers d’autres formes analogues, dans l’indifférence. Pourvu de pouvoir éviter la constatation de leur faillite définitive historiquement certifiée dans leurs racines même théoriques ! Le socialisme dans son aveu complet, spontané et mondial de 1989, et le libéralisme dans sa prétendue victoire par… défaut de la précédente idéologie – la communiste très marxiste – historiquement oppositrice. Et dépit de l’augmentation insupportable de la différence entre “propriété et pouvoir de richesse” dans le monde. Et ceci, par rapport à la quasi-totalité des populations mondiales misérabilisées dans un hédonisme clochard. Naturellement en disparition, généralisé et indigne de leur humanité (même moyennement le Coronavirus).
Pourquoi aussi l’Église catholique n’est pas en mesure d’avancer dans la proposition de sa mission, actuellement encore plus nécessaire sur le plan eschatologique ? Seule la christocentricité du Catholicisme peut résoudre avec son Distributisme social la division entre la Justice et la Liberté.
Face au vide d’explicitations relatives au pourquoi il faut créaturellement demeurer dans le bonheur et sage obéissance à Dieu et à son unique Église pétrinienne, le Catholicisme n’a plus le courage d’affirmer sa Vérité éternelle appartenant naturellement à la nature divine de l’humain. Sa doctrine réelle s’est progressivement imbibée de l’esprit rebelle et irresponsable, d’origine philosophique, protestante et tournant autour du principe qu’il faut inévitablement s’accorder avec les désidératas du monde… Ainsi qu’il faut affirmer, indépendamment de la recherche de l’origine dans les devoirs, d’abord les soi-disant droits des hommes. Qu’il est aussi légitime croire que la Miséricorde a permis et inclus le concept de Paternité de Dieu, donc de Fraternité des hommes, indépendamment à la Foi et même à la pratique des Sacrements… Qu’il est même indispensable “remédier” aux soi-disant dégâts crus provoqués par l’homme à la nature et au climat (?!), comme si Dieu Trinitaire était remplacé panthéistiquement par la Nature, sa création… Devant laquelle, les hommes ne connaitraient que leurs efforts, en la matière très coûteux et qui sont parfaitement inutiles dans leur incommensurabilité avec le problème. Qu’il est nécessaire en supplément et par exemple, de continuer à remplacer, ou mieux compléter (!) en ajoutant cumulativement, toute la doctrine catholique traditionnelle et dogmatique de la Révélation et du Magistère ecclésial. Avec la théologie totalement hérétique du jésuite allemand Karl Ranher qui vivait publiquement avec sa maîtresse (sans plus dire Messe). Dans un schisme donc interne “sanctifié, indolore” et progressif de l’Église catholique, en vue de fonder une nouvelle grande et fausse religion civile mondiale et “enfin unique, syncrétique et moderniste autant que toutes les autres anthropocentriques” qui sont déjà poursuivant, depuis longtemps ou prêts, pour une Nouvel Ordre Mondial“, selon les idées bien réitérées et pratiquées par Pape François, même plus du nécessaire pour atteindre le sommet de l’hérésie tant condamnée par les Papes Pie IX, Pie X, et Pie XI… Lequel Pape François cultive son hérésie depuis sa participation, en tant qu’à l’époque comme cardinal argentin, au groupe anti-canonique Saint Gall, gauchiste et complétement hérétique. En tant que partiellement moderniste, dans le progressisme, aujourd’hui, le plus extrême…
Ainsi l’Église catholique, au lieu de profiter de la grande occasion offerte objectivement au Catholicisme (vraiment historique, enfin après des siècles de crise épouvantable, pourrait continuer “profitablement son intrinsèque élan salvifique au lieu que œcuménique, ignoble et inutile“) dans son “chemin réellement retrouvé face à la demande océanique que le nihilisme lui adresse objectivement dans sa trace protestantisant et écervelée depuis ledit calomnieux archaïque Moyen-Âge“.
L’espoir vers surtout les catholiques laïcs, pourvu qu’ils ne soient pas étatistes irrémédiables.
La véritable pensée totalement hérétique et en parfaite mauvaise conscience de Pape François est résumée dans ces quelques principaux cinq “rèves” à peine présentés de réforme totalement à accomplir. Ce Pontife constitue ainsi l'”anneau de conjonction” idéal et bien paradoxal entre la riche Église catholique allemande, schismatique et carrément néo-protestante, avec celle sud-américaine aux prises encore avec la très condamnée théologie dite de la libération ! Y compris dans la plus immense méconnaissance, voire totale ignorance, du divin Distributisme, dernier cheval de bataille (tout de même millénaire et particulièrement d’il y a plus d’un siècle !) du Dicastère de la Doctrine Sociale de l’Église catholique ! Laquelle fonde toute sa force miraculeuse avec la diffusion de l’idée centrale distributiste de la sacrée propriété privée responsabilisant, bien à l’intérieur de la Liberté. Contre le fatal appauvrissement matériel et spirituel toujours et de plus en plus miséreux. Et générant dans l’irresponsabilité globale des masses – même des actuels catholiques – devenant progressivement plus nihilistes et eux aussi abrutis !
L’actuelle victoire du président Trump, dont Pape François vient de refuser dans l’absurde de recevoir le secrétaire d’État Pompeo, expressément envoyé par son gouvernement républicain à Rome pour au moins renouer le contact avec l’administration des Etats-Unis. Notre Vicaire hétérodoxe ou en pleine apostasie, en choisissant par contre de se réaligner avec les totalitaires toujours athées des communistes chinois, s’est avancé encore une foi ainsi dans l’étape cruciale d’une nouvelle ère où l’Église catholique devrait plutôt choisir – si bien actuellement sans trop d’espoir ! – de se situer du bon et Providentiel côté de l’histoire, surtout celui de l’Église.
Il ne reste, finalement, qu’espérer dans les catholiques laïques et pétriniens, pourvu qu’ils ne soient pas des irréversibles étatistes. Prions.
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