La folie de l’étatisme hédoniste de la dernière cinquantaine d’années, dans le monde surtout occidental, a produit l’absurdité réelle et peu imaginable d’une dette publique désormais jugée non remboursable (!) : équivalente à un demi-siècle du prochaine PIL mondial ! L’énormité hédoniste de cet événement criminel et historique a mis sur le dos du futur de diverses générations à venir, une hypothèque de sacrifices inouïs, de guerres et d’esclavage moderniste varié. Y compris l’angoisse d’une hécatombe totale et définitive nucléaire… Le tout, pour vivre généralement au-dessus des vrais moyens disponibles, à crédit clochard forcé. Lequel a engendré le risque, déjà réel, de la fin de la civilisation humaine, au profit perdu des nouveaux patrons du monde réunis à Davos. À la place et contre, il va de soi, celle du Christ Roi !

C’est au Forum mondial de cette citadine suisse, que désormais vient d’être proférée même la déclaration expresse selon laquelle le résultat politique des élections gagnantes, à gauche comme à droite, est indifférent aux sortes déjà par lui-même établies « irréversiblement » (que l’on dit) ! Voici les trois premières solutions ainsi envisagées : sans aucune réception partagée, consciente […]

Da anni non solamente in Italia, esistono movimenti in procinto di fondarsi in formazioni politiche dette cattoliche, alla ricerca di un minimo successo elettorale. Un altro partito cattolico, di cui si è perso la traccia, è stato annunciato dalla Chiesa romana, ormai ben eretica in modernismo… Inoltre, partiti borghesi e strettamente (a)gnostici si presentano appena tolleranti religiosamente. In particolare, primeggiano i socialisti (ex-marxisti), sempre d’ideologia sinistrosa, piuttosto ancora totalitari e alla ricerca spasmodica del potere (con soprattutto sostenitori cattolici laici), come in gran parte degli Stati dell’UE, detta coerente, liberale e democratica. Cosa manca anche di essenziale e primordiale, a tutti questi partiti continentali, reali o virtuali?

Non esiste la possibilità di partiti politici e cattolici che non sia fondata sull’opposizione irrevocabile all’attuale abnorme statalismo dello Stato già assoluto e pubblicamente irreligioso! È fatale e sempre in via di avverarsi che, da una posizione detta « laica », si cada nel laicismo anche  estremo « neutralista » e sistematicamente gnostico, sul piano pubblico! Il modello statalista […]

Depuis des années non seulement en Italie, existent des mouvements en vue de se fonder prochainement en formations politiques catholiques, à la recherche d’un minimum de succès électoral. Un autre parti catholique dont on a perdu toute trace a été annoncé par l’Église romaine, désormais bien hérétique en modernisme… En outre, des partis bourgeois et strictement (a)gnostiques, s’affichent à peine religieusement tolérants. En particulier, on voit exceller les « socialistes » (ex-marxistes) et toujours d’idéologie gauchiste, plutôt encore totalitaires à la recherche spasmodique du pouvoir (avec des supporters surtout catholiques laïques), comme en grande partie des États de l’UE dite cohérente, libérale et démocratique. Quoi est-il manquant, même d’essentiel et primordial, à tous ces partis continentaux, réels ou virtuels ?

Il n’existe pas la possibilité de partis politiques laïques et catholiques qui ne soit pas fondée sur l’opposition irrévocable à l’actuel anormal étatisme de l’État absolu et publiquement irréligieux ! C’est fatal et toujours en train de s’avérer que, d’une position dite « laïque », on tombe dans le laïcisme même le plus extrême « neutraliste » et systématiquement […]

Con la vittoria della destra storica alle elezioni politiche italiane, si è incredibilmente aperta una nuova era nel mondo intero. Essa si era già molto affacciata alla finestra con la prosecuzione pervicace, tuttora in auge soprattutto nell’Occidente, del suo gnosticismo: detto anche di sinistra, statalista e neo-capitalista! La mia scelta di non votare alle ultime elezioni si colloca in una nuova tendenza di ex-incivile astensionismo, che si staglia nettamente dall’abituale non voto qualunquista sempre condannabile: ma a condizione di dichiararlo e motivarlo anche dottrinalmente e in anticipo… Quali sono i motivi caratteristici di questa nuova era? Innanzitutto due confusioni linguistiche emblematiche e altrettante dimenticanze totali, con distorsioni filosofico-teologiche…!

La prima confusione linguistico-culturale è che la politica è autonoma ma non indipendente dalla religione, come la Ragione lo è dalla Fede, che sola, stranamente, le conferisce l’autonomia! Il reale e vero dogma laico, corrente e progressivamente in atto da circa mezzo millennio, è che la politica non abbia nulla a che fare con la […]

Avec la victoire de la droite historique aux élections politiques italiennes, s’est ouverte incroyablement une nouvelle ère dans le monde. Elle s’était déjà montrée beaucoup à la fenêtre avec la continuation, encore tenant le pavé surtout dans l’Occident, de son séculaire gnosticisme: dit aussi de gauche, étatiste et néo-capitaliste. Mon choix de ne pas aller à voter aux dernières élections se situe ainsi dans une nouvelle tendance d’abstentionnisme, qui se découpe nettement de l’habituel n’importe quoi, ex-incivil non-politique, toujours condamnable: mais à condition de le déclarer et le motiver même doctrinalement, à l’avance… Quels sont-ils les motifs propres de cette nouvelle ère? Tout d’abord, deux confusions linguistiques emblématiques et autant oubliées totalement, avec distorsions philosophico-théologiques… !

La première confusion linguistico-culturelle est que la politique est autonome mais non dépendante de la religion, comme la Raison l’est de la Foi. Qui seule, étrangement, lui confère l’autonomie ! Le réel et véritable nouveau dogme laïque, courant et progressivement en acte depuis environ un  demi millénaire, c’est que la politique n’ait rien à faire […]

Non solo il Cattolicesimo è ormai diventato realmente sconosciuto – come già aveva costatato don Giussani appena prima di fondare la sua laica « Comunione e Liberazione » –, ma anche la Dottrina Sociale della Chiesa è generalmente quasi totalmente dimenticata. E questo pure dopo Papa Leone XIII che l’aveva molto aggiornata… Quella contemporanea, concepita dal terzetto anglofono e cattolico Belloc, Chesterton e McNabb, dopo averlo chiamato « Distributismo », è anche molto negletta. Ancora più grave è dato dal clero romano che ne è tuttora generalmente ignaro! Nel frattempo, l’opposto statalismo è diventato totalitariamente maggioritario nel mondo!

Il trio del grande Chesterton aveva denominato la sua nuova economia politica cattolica, « Distributismo »: in vista della massima diffusione della proprietà privata, attribuita ancora oggi al capitalismo o alle oligarchie di Stato! Ovviando così, teoricamente, alle catastrofi capitaliste e, ancor più, a quelle del comunismo applicato, nella loro pauperizzazione coatta e generale! La riunificazione del […]

Grandioso e veramente cattolico il discorso del nuovo presidente della Camera, Lorenzo Fontana, che ha evocato l' »omologazione » al sistema mondialista imperante nella politica. Fatalmente anticristiano, invece – anche se a tratti laudativo – il Casadei, leader dei Cattolici detti giussaniani, ritenuti i più autentici e religiosi oggi: nel dichiararlo dissennatamente « fuori tempo massimo »! Cristo sulla Croce, insultato dal popolo che l’aveva condannato innocente a morte, non avrebbe mai potuto nemmeno pensare altrettanto. I tempi eterni di Dio non sono quelli apparenti degli uomini – di fatto ora molto immanentisti – rispetto alla Verità che sola « rende liberi »!

Come aspettarsi un commento così distruttivo e senza alcuna speranza da un leader cattolico, al centenario di don Giussani festeggiato in Piazza San Pietro, al forse unico discorso mai pronunciato in Parlamento da un eletto, definibile veramente cattolico e democratico? I contenuti e gli accenti del suo discorso sono memorabili per la loro pregevolezza inabituale. […]

Le degré charlatan et idéologique des journalistes responsables des grands médias européens (y compris les chaînes radio-TV nationales), est certifié par les propos conformistes et clairement faussement alarmistes, avec lesquels ils viennent de commenter la victoire aux élections politiques en Italie, de la part de la coalition de centre-droite. Les français et généralement de la vaste francophonie, se sont distingués par leur caractère factieux de désinformation : tous en effet, décrivent d’abord cette coalition comme… d’extrême droite et nazi-fasciste ! Après plus de 76 ans de la chute du nazi-totalitarisme et après trois (!) générations de libres électeurs au Parlements de dizaines de Pays européens, il n’y a pratiquement même plus de possibles politiciens « vivants » encore liés au fascisme ! Donc il s’agit d’une information radicalement fausse, qui a rassemblé la classe « intellectuelle et politique » européenne, transformée en propagandistes gauchistes. Tragique!

À vrai dire, déjà à la fin de la seconde guerre mondiale, les fascistes italiens étaient déjà réduits à une extrême minorité plutôt folklorique. Ils n’ont eu aucune influence même pas dans l’écriture de la Constitution nationale. Une connaissance au moins scolaire de l’histoire devrait l’assurer ! La fierté et le plaisir typiquement jouisseurs de […]

La vittoria del centro-destra italiano, alle ultime elezioni politiche contro tutta la sinistra, si aggiunge a quella svedese. E alle reazioni popolari della Polonia e Ungheria che, da molti anni, continuano a ribellarsi al dominio sinistrorso, dittatoriale e altezzoso, del partito occidental-europeo filo-« democratico »-americano, detto del liberalismo infinito, gnostico, guerrafondaio e immanente! Da undici anni (!), questo vero e proprio movimento storico, con la sua ideologia pure arrogante e auto-legittimata, aveva sospeso le elezioni nel Bel Paese che invece era dato per maggioritario già realmente alla destra! Per di più, questo sopruso plateale alla democrazia si è perpetrato al servizio delle oligarchie mondialiste di Davos nel Nuovo Ordine Mondiale: il vero e occulto padrone politico e strategico del nostro mondo modernista…

In effetti, questa e molte altre anomalie totalitarie nel mondo, pure indipendenti dalle scelte di sinistra come anche di destra, sono diventate abituali in Occidente, secondo il modello della Cina liberal-comunista: capitalista efficiente, politicamente oppressivo e sempre anti-democratico. La confessione spontanea di fronte al mondo nel 1989-91, da parte del comunismo, sia a Mosca che […]

Il funerale della regina Elisabetta II, il più famoso della storia visto e seguito da quattro miliardi di spettatori, è forse quello dell’autentica religiosità. Cioè si tratta del sempre provvisorio trionfo dello gnosticismo immanente e antropocentrico che ha voluto seppellire, senza mai riuscirci, la nozione di famiglia naturale. Ormai, invece, molto generalmente praticata: doppiamente responsabile, al massimo grado, del disastro totale già quasi compiutamente perseguito. Per di più ancora una volta mistificato con la poligamia pseudo-edonista di fatto celebrata, sebbene con ritegno, con la liturgia opulenta del capo della Chiesa anglicana, nella ex-persona della Regina stessa ritornata al Padre! Ciononostante, il « successo » planetario del funereo avvenimento, insegue l’inizio, appena percepito e imperituro, dell’eterna rinascenza della Verità monogamica e sacramentale. Ribadita dall’enciclica « Humanae vitae » del 1968, apparentemente mai veramente accettata… Osannata, è stata così la Regina monogamica ora morta, a baluardo solitario del regno pure storicamente più lungo. Insieme alla Verità – creaturale e irriducibilmente cosciente – della figlialità incomprimibile e felicemente grandiosa: nella sua dipendenza religiosa dalla Paternità divina di suprema e amorosa pienezza.

Un funerale non solo formalmente religioso ma, nell’eresia generale del ribellismo umano, sancito con protestante arroganza, mentre vive e rivive l’ineliminabile Verità della nemesi monogamica. La caoticità coatta del nostro mondo contemporaneo è stata ancor più aggravata dal paradossale « successo » dell’avvenimento inversamente espressivo rispetto alla fatale realtà, grandiosamente e di fatto celebrata nell’occasione. E notevolmente […]